Vous cherchez à pimenter vos séances de running ou de vélo et vous avez envie de partager un moment sportif avec un ami ? Le run and bike (ou bike and run) pourrait bien être l’activité qu’il vous faut. Si, comme moi, vous aimez les sports en plein air, où le dépassement de soi et l’esprit d’équipe sont au cœur de l’action, cette discipline saura vous séduire. Imaginez : un seul vélo pour deux, des relais à gérer au fil du parcours et une coordination essentielle pour avancer ensemble. C’est un sport hybride, à la fois stimulant pour les jambes et le mental, qui mêle l’effort solitaire et la stratégie collective.
Dans cet article, je vais vous expliquer en quoi consiste le run and bike, comment il se déroule et pourquoi il est si intéressant à pratiquer. Vous découvrirez également des conseils pratiques pour bien débuter et profiter au maximum de cette expérience, que vous soyez novice ou sportif aguerri. Personnellement, c’est une discipline que j’ai découvert presque par hasard, lors d’une compétition locale, et elle a transformé ma manière de m’entraîner. Depuis, j’y reviens régulièrement, surtout quand j’ai besoin de casser la routine.
Alors, prêt à enfourcher votre vélo tout en gardant vos chaussures de running à portée de main ? C’est parti pour une présentation complète du run and bike !
A retenir
Le run and bike est une discipline qui combine course à pied et VTT, où les participants, en binôme, alternent entre les deux activités avec un seul vélo. Ce sport exige coordination et esprit d’équipe, avec des relais libres qui s’adaptent au niveau des participants. Les courses varient selon des formats basés sur le temps, allant de moins de 45 minutes à plus de deux heures. Pour débuter, il est important de bien s’équiper (casque, tenue adaptée, VTT) et de maîtriser les transitions. Le run and bike offre une alternative dynamique aux entraînements classiques, améliorant à la fois la résistance cardiovasculaire et la cohésion d’équipe, tout en étant accessible à tous les niveaux et pratiqué en pleine nature, souvent en automne et en hiver.
Définition du Run and Bike

Une course en binôme : courir et pédaler à tour de rôle
Le run and bike est un sport d’équipe unique qui combine course à pied et cyclisme. Il se pratique toujours en binôme, avec un seul vélo pour deux. Le principe est simple : pendant qu’un membre de l’équipe court, l’autre se déplace à vélo. Vous l’aurez compris, l’alternance entre les deux rôles se fait régulièrement tout au long du parcours. Et là, bonne nouvelle, le relais est totalement libre ! Vous pouvez échanger le vélo avec votre coéquipier quand vous le souhaitez, selon votre forme physique, la difficulté du terrain ou tout simplement en fonction de la stratégie que vous avez définie.
En général, on conseille de changer toutes les 30 secondes à 2 minutes, surtout si vous débutez. Mais rien n’empêche de faire des relais plus longs ou plus courts selon vos sensations. Pour ma part, lorsque j’ai testé cette discipline pour la première fois, j’ai rapidement compris qu’une bonne communication avec mon partenaire était cruciale pour optimiser nos relais. Le vélo devient presque un témoin que vous vous passez, et la clé du succès réside dans votre capacité à vous coordonner.
Des formats de course variés basés sur le temps
Contrairement aux courses à pied ou aux compétitions cyclistes classiques, les distances ne sont pas le critère principal en run and bike. Ici, les courses sont organisées en fonction du temps de course, et non des kilomètres. Cela permet d’adapter les épreuves à tous les niveaux et de varier les plaisirs.
Les formats sont classés ainsi :
- Bike and run XS : moins de 45 minutes, idéal pour les débutants ou ceux qui veulent découvrir le concept en douceur.
- Bike and run S : entre 45 minutes et 1h15, une durée qui permet déjà de bien sentir l’alternance entre la course et le vélo.
- Bike and run M : entre 1h15 et 2h, une belle épreuve pour tester votre endurance.
- Bike and run L : plus de 2h, réservé aux plus aguerris, où la gestion de l’effort et des relais devient primordiale pour tenir sur la durée.
Personnellement, j’ai commencé avec un format S avant de m’attaquer au M. Cela m’a permis de bien m’habituer aux relais et de mieux comprendre la dynamique du duo.
Un sport d’équipe et d’endurance
Le run and bike est à la fois un sport d’endurance et une véritable course d’équipe. Il demande de jongler entre deux types d’efforts : la course à pied et le vélo. Lorsque vous êtes à pied, vous vous donnez à fond pour maintenir une bonne allure, puis vous récupérez en montant sur le vélo. Mais attention, la partie vélo n’est pas toujours de tout repos ! Il faut souvent fournir un effort supplémentaire pour rattraper votre coéquipier si vous avez pris du retard ou attaquer les montées sur des chemins parfois accidentés.
L’alternance régulière entre les deux activités en fait un sport très complet. Vous sollicitez votre cardio tout en renforçant vos jambes, et ce dans des conditions souvent exigeantes, comme des terrains boueux ou vallonnés. J’aime particulièrement cette partie du run and bike, car elle vous oblige à sortir de votre zone de confort et à adapter votre effort à chaque moment. Cela m’a appris à mieux gérer mes ressources physiques, surtout sur des formats plus longs.
La clé : coordination et esprit d’équipe
Le run and bike est avant tout une aventure à deux. Pour réussir, il ne suffit pas d’être un bon coureur ou un cycliste aguerri. Il faut surtout savoir se coordonner avec son coéquipier. La communication est essentielle pour décider quand échanger les rôles et pour s’assurer que personne ne s’épuise trop vite. D’expérience, plus le duo est harmonieux, plus la performance sera au rendez-vous.
Ce que j’apprécie particulièrement dans ce sport, c’est l’esprit d’équipe qu’il développe. Que vous participiez avec un ami, un membre de votre famille ou un partenaire d’entraînement, le run and bike renforce la cohésion. Vous ne courez jamais seul : vous devez avancer ensemble et passer la ligne d’arrivée en même temps. Une belle manière de mêler dépassement de soi et solidarité !
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Déroulement d’une épreuve de Run and Bike
Départ et transitions
Le départ d’une épreuve de run and bike se fait en deux temps. D’abord, ce sont les coureurs à pied qui s’élancent, suivis de près par les vététistes. En général, les cyclistes partent environ 400 mètres après les coureurs pour les rejoindre rapidement sur le parcours. Cette première partie est toujours un moment clé, car elle permet de bien se positionner et d’évaluer la dynamique de l’équipe dès le début.
Une fois que le cycliste rejoint son coéquipier, commence alors le jeu des transitions. Le vélo passe de main en main à n’importe quel moment, selon la stratégie choisie par le duo. La plupart des compétitions imposent un passage de main à main, c’est-à-dire que l’un descend du vélo et le transmet directement à l’autre qui repart à pied. C’est la méthode la plus fluide, mais cela demande une bonne coordination pour éviter de perdre trop de temps. Si le règlement le permet, on peut également poser le vélo au sol et partir courir, laissant ainsi à son coéquipier le soin de récupérer le vélo en route.
De mon expérience, le passage de relais est un véritable art. Au début, je m’arrêtais quasiment pour m’assurer que mon partenaire attrapait bien le vélo, mais avec un peu d’entraînement, nous avons appris à faire les transitions plus en douceur.
Petit conseil : anticipez toujours en ajustant la vitesse du vélo avant de le passer, surtout si vous êtes sur un terrain accidenté ou juste avant une montée. Cela évitera à votre coéquipier de démarrer dans un mauvais braquet.
Zones d’arrivée et points de contrôle
Sur chaque course, il y a des zones d’arrivée et des points de contrôle où les deux équipiers doivent passer ensemble. Ces zones sont clairement délimitées, souvent sur une longueur d’environ 50 mètres. À chaque tour, le binôme doit franchir cette zone ensemble, que ce soit à pied ou à vélo. Cela permet aux organisateurs de vérifier que l’équipe respecte bien les règles de course. Si vous êtes trop éloignés l’un de l’autre, vous risquez des pénalités voire une disqualification.
Ces passages obligatoires imposent une certaine discipline et une gestion précise de l’effort. Je me souviens d’une épreuve où mon partenaire avait pris un peu trop d’avance à vélo, et j’ai dû sprinter pour le rejoindre juste avant le point de contrôle. Une belle leçon sur l’importance de rester proche et synchronisé tout au long de la course !
Règlement et équipement nécessaire
Pour participer à un run and bike, certains éléments sont indispensables. Tout d’abord, le port du casque est obligatoire pour les deux équipiers, que vous soyez à pied ou sur le vélo. Cela peut paraître évident, mais c’est un point de sécurité non négociable. De plus, chaque participant doit porter un dossard visible. Vous pouvez le fixer à l’aide d’épingles à nourrice ou, pour plus de confort, utiliser une ceinture porte-dossard qui facilite les transitions.
Ensuite, il n’y a qu’un seul vélo pour deux. Le choix du vélo est donc crucial. Il doit être bien réglé, en tenant compte du plus petit membre du binôme pour que chacun puisse l’enfourcher rapidement. Il est aussi recommandé de vérifier l’état du vélo avant la course (pression des pneus, transmission, freins) pour éviter les mauvaises surprises en chemin. Si vous êtes sur un parcours technique, un bon VTT est indispensable pour affronter les montées, la boue ou les sentiers caillouteux. C’est là que la préparation joue un rôle important. J’ai souvent vu des équipes perdre de précieuses minutes à cause d’un vélo mal entretenu ou mal réglé, et cela peut vraiment impacter votre performance.
Les règles de la Fédération Française de Triathlon
Les épreuves officielles de run and bike sont encadrées par la Fédération Française de Triathlon (FFTri), et un certain nombre de règles doivent être respectées. Par exemple, les vélos électriques sont bien entendu interdits (ça serait un peu trop facile !), et il est souvent nécessaire de fournir un certificat médical de non-contre-indication à la pratique du triathlon en compétition. Ce dernier doit dater de moins d’un an.
Chaque course peut avoir ses spécificités en termes de règles, alors il est toujours bon de consulter le règlement avant de se lancer. Certaines compétitions imposent le passage du vélo de main à main, tandis que d’autres autorisent de le poser au sol. Quoi qu’il en soit, l’esprit de fair-play et de sécurité reste au cœur de la discipline. Le respect des règles permet de garantir une épreuve équitable et agréable pour tous.

Pourquoi se lancer dans le Run and Bike ?
Mixer les disciplines sportives
Le run and bike est une façon ludique et dynamique de combiner deux sports que j’aime particulièrement : la course à pied et le VTT. Ce qui rend cette discipline intéressante, c’est la complémentarité des efforts qu’elle demande. En alternant entre courir et pédaler, vous sollicitez des groupes musculaires différents, tout en travaillant intensément votre résistance cardiovasculaire. Que vous soyez un coureur à la recherche d’un nouvel entraînement ou un vététiste souhaitant diversifier ses efforts, le run and bike offre un excellent moyen de repousser vos limites physiques.
Je me souviens de mes premières courses où j’ai réalisé à quel point passer du vélo à la course nécessite de l’adaptation. On pourrait penser que pédaler est un moment de récupération, mais en réalité, ce n’est pas toujours le cas, surtout sur des terrains techniques. C’est un excellent moyen de travailler l’endurance tout en préservant vos articulations, puisque vous n’êtes pas constamment en train de courir. Bref, un mélange parfait pour casser la routine !
Esprit d’équipe
Si vous aimez les sports où la cohésion et la communication sont essentielles, le run and bike est fait pour vous. Ici, impossible de briller en solo : il faut constamment être à l’écoute de votre coéquipier. Le relais demande une coordination fluide, et la performance de l’équipe dépend directement de votre capacité à communiquer et à anticiper les besoins de l’autre.
J’ai souvent fait des run and bike avec des amis, et chaque fois, c’est l’esprit d’équipe qui ressort le plus. Vous êtes deux à partager l’effort, à vous encourager, et à trouver le bon rythme ensemble. Cette complicité renforce l’aspect collectif du sport et le rend encore plus plaisant. À deux, les kilomètres passent plus vite, et les moments difficiles sont plus faciles à surmonter. C’est un vrai challenge d’équipe où la performance repose sur la solidarité et la gestion de l’effort partagé.
Pratiquer en pleine nature
L’un des grands plaisirs du run and bike, c’est de pouvoir pratiquer en plein air, souvent sur des terrains variés et accidentés. Les courses se déroulent généralement sur des sentiers de forêt, des chemins en gravier, voire des routes boueuses, offrant une véritable immersion dans la nature. C’est un moment privilégié pour se reconnecter à l’environnement tout en pratiquant une activité sportive.
Personnellement, j’adore le fait que chaque parcours soit différent. On peut passer d’un sentier technique dans les sous-bois à une descente rapide sur des chemins plus larges. Chaque course devient une aventure, loin du bitume monotone des routes urbaines. Cela permet aussi de travailler des compétences supplémentaires comme l’agilité et la gestion de l’équilibre, surtout lorsque les conditions sont plus difficiles. Respirer l’air frais, sentir l’humidité de la forêt ou traverser des paysages magnifiques… le run and bike a ce côté dépaysant que j’apprécie particulièrement.
Une pratique en toute saison
Le run and bike est l’un des rares sports que vous pouvez pratiquer tout au long de l’année. Même si les courses sont souvent programmées en automne ou en hiver, rien ne vous empêche de vous entraîner et de participer à des épreuves en toutes saisons. L’automne et l’hiver apportent même des défis supplémentaires, comme la boue, le froid, ou encore des terrains plus glissants. Ces conditions rendent la course encore plus technique, mais aussi plus amusante si vous aimez les défis.
J’ai déjà participé à des run and bike dans des conditions très humides, et croyez-moi, c’est une toute autre expérience. Le sol détrempé demande une vigilance constante pour éviter de glisser, et le froid vous pousse à bien gérer votre équipement pour rester au chaud sans surchauffer. Ces éléments ajoutent un côté imprévisible qui rend chaque course unique, et c’est aussi ce qui fait tout le charme de cette discipline. Pas besoin d’attendre les beaux jours pour vous lancer, le run and bike se pratique à toute heure et dans presque toutes les conditions !
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Comment bien débuter en Run and Bike ?
La panoplie du débutant
Si vous souhaitez vous lancer dans le run and bike, il est essentiel de bien s’équiper dès le départ. Ce sport se pratiquant souvent en automne ou en hiver, une tenue adaptée aux conditions climatiques est primordiale. En commençant par un bon casque, obligatoire pour tous les participants. Choisissez-en un bien ajusté, confortable et solide, car il ne doit jamais vous gêner durant la course.
Côté vêtements, privilégiez des couches respirantes et isolantes, qui vous garderont au chaud tout en permettant une bonne évacuation de la transpiration. Une veste légère mais coupe-vent est idéale pour affronter les conditions hivernales. Pour les chaussures, si vous savez que le terrain sera accidenté, je vous conseille fortement d’opter pour un modèle de chaussures de trail. Elles offrent une meilleure adhérence et vous éviteront de glisser, surtout si le sol est boueux.
Enfin, pour le vélo, un VTT robuste est indispensable. Il doit être capable de gérer les différents types de terrains que vous pourriez rencontrer : chemins de gravier, sentiers forestiers ou portions plus techniques. N’oubliez pas de vérifier la pression des pneus et l’état des freins avant la course, et pensez à ajuster la selle en fonction du plus petit membre du binôme. Cela simplifiera grandement les transitions.
Stratégie de relais
Une des clés du run and bike réside dans la gestion des relais. La fluidité des transitions peut faire toute la différence, surtout si vous cherchez à gagner du temps. Pour débuter, je recommande de pratiquer avant la course pour affiner votre technique. L’un des aspects les plus importants est d’adapter le braquet du vélo juste avant de passer le relais. En effet, si vous laissez une vitesse trop dure, votre coéquipier risque d’avoir du mal à repartir, surtout en montée.
Réglez également la selle à une hauteur intermédiaire pour éviter de devoir la modifier à chaque échange. Vous n’avez pas besoin d’un confort parfait, mais d’une position suffisamment efficace pour que chacun puisse repartir rapidement. Concernant la durée des relais, si vous débutez, mieux vaut privilégier des relais courts. Alterner tous les 30 secondes à 1 minute permet de maintenir une bonne intensité sans trop vous épuiser. Pour les plus expérimentés, vous pouvez allonger les relais à 2 ou 3 minutes selon le profil du parcours et votre condition physique.
Gestion de l’effort
Ne tombez pas dans le piège de penser que le vélo est une simple phase de récupération. Dans le run and bike, le VTT demande lui aussi un effort conséquent, surtout sur des parcours accidentés ou en montée. Il est important de ne pas sous-estimer cette phase. Souvent, en début de course, on se laisse emporter par l’adrénaline et on donne trop en course à pied, en pensant pouvoir se reposer sur le vélo. Grosse erreur ! Sur le vélo, il faudra souvent fournir un effort pour rattraper votre coéquipier, notamment lorsque le relais se fait après une descente.
Un bon conseil que je peux vous donner, c’est de pratiquer une récupération active sur le vélo. Essayez de rester en mouvement constant, mais à une intensité modérée, pour garder le contrôle de votre souffle. Puis, lorsque vous vous rapprochez de la transition, préparez-vous mentalement à relancer rapidement dès que vous aurez pris le vélo ou commencé à courir. Une bonne gestion de l’effort passe aussi par une bonne communication avec votre coéquipier, surtout dans les moments où la fatigue commence à se faire sentir.

Le Run and Bike : une alternative idéale pour l’entraînement
Varier ses entraînements
Si vous cherchez à rompre la monotonie de vos entraînements classiques, le run and bike est une excellente option pour apporter du dynamisme à votre routine. Contrairement à un simple entraînement de course à pied ou de vélo, l’alternance entre les deux disciplines vous permet de solliciter différentes chaînes musculaires tout en travaillant votre endurance cardiovasculaire. C’est un peu comme faire deux sports en un, sans la lassitude qui peut s’installer après plusieurs kilomètres sur un parcours habituel.
Quand je m’entraînais exclusivement à la course à pied, il arrivait souvent que mes séances deviennent répétitives, voire ennuyeuses, surtout sur les longues distances. Le run and bike a tout changé : l’alternance des efforts permet de rester constamment en mouvement, sans jamais être dans une routine. Passer du vélo à la course, et vice-versa, ajoute une dynamique qui oblige à rester concentré et à anticiper le prochain relais. De plus, cela donne un vrai coup de pouce à votre résistance : vous alternez entre effort intense et récupération active, un peu comme lors d’un entraînement fractionné, mais avec beaucoup plus de fun.
Accessible à tous les niveaux
L’un des grands atouts du run and bike, c’est qu’il est adaptable à tous les niveaux. Que vous soyez un sportif confirmé ou un débutant, vous pouvez ajuster les relais selon votre condition physique et celle de votre coéquipier. Si l’un de vous est plus rapide en course, pas de souci, les relais peuvent être plus courts pour éviter que la fatigue ne s’installe trop vite. Et si vous êtes tous les deux en bonne forme, vous pouvez allonger les phases pour un entraînement plus intense.
Ce qui est également super dans cette discipline, c’est la possibilité de participer en binôme mixte ou non, avec des options de course pour les plus jeunes. Il existe même des formats spécifiquement adaptés aux enfants et aux adolescents, avec des épreuves plus courtes et accessibles. Cela en fait une activité familiale par excellence, où chacun peut participer selon son niveau, tout en s’amusant. Les enfants peuvent s’initier au plaisir du sport en équipe, tandis que les plus expérimentés trouveront un défi à la hauteur de leur endurance.
Que vous souhaitiez améliorer votre cardio, renforcer votre endurance ou simplement varier vos séances, le run and bike est une alternative idéale. Il vous permet de repousser vos limites tout en évitant la monotonie des entraînements classiques, et ce, dans une ambiance conviviale et stimulante.
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