Je dois dire que la Salomon Speedcross 6 m’a vraiment impressionné. Elle reste fidèle à l’ADN de la gamme, avec un grip exceptionnel qui fait toute la différence sur les terrains boueux et instables. Dès la première sortie, j’ai ressenti un confort immédiat, avec un maintien qui inspire confiance, même sur des sentiers techniques. Si vous êtes du genre à courir souvent sous la pluie ou dans des conditions de terrain difficiles, cette chaussure devient rapidement un atout indispensable.
Cependant, il faut être conscient de ses limites : son dynamisme reste inférieur à d’autres modèles plus polyvalents ou plus réactifs. Ce n’est pas une chaussure que je conseillerais pour les coureurs cherchant de la légèreté et de la rapidité sur terrain sec ou roulant. Mais pour les conditions de trail les plus extrêmes, où l’adhérence et la sécurité passent avant tout, la Speedcross 6 est sans aucun doute un choix gagnant. Pour moi, c’est une chaussure dédiée aux passionnés de terrain gras et aux courses qui demandent une totale confiance dans chaque appui.
Specs
Drop: 10 mm
Poids: 288 gr (H) / 266 gr (F)
Plaque carbone: Non
Type de surface: Sentier
Type de course: Entrainement et Compétition
Type de coureur: Débutant et confirmé
Pour
Adhérence exceptionnelle
Chaussure confortable
Protection efficace
Contre
Manque un peu de dynamisme
Polyvalence limitée
Depuis plus de dix ans que je cours sur les sentiers, rares sont les chaussures qui ont su traverser les générations sans perdre leur identité. La Salomon Speedcross fait partie de ces modèles cultes que l’on reconnaît au premier coup d’œil… et au premier appui dans la boue. Avec cette sixième version, la marque alpine promet une chaussure plus légère, plus efficace et toujours aussi redoutable sur les terrains gras. Il ne m’en fallait pas plus pour enfiler une paire et aller la tester sur mes sentiers fétiches, entre racines humides, flaques profondes et pentes glissantes.
Si vous êtes traileur ou traileuse, et que vous cherchez une chaussure capable de vous suivre dans les pires conditions météo, alors cette Speedcross 6 pourrait bien vous intéresser. Mais est-elle toujours aussi accrocheuse qu’avant ? A-t-elle gagné en confort, ou au contraire perdu de sa légendaire robustesse ?
Dans cet article, je vous partage mon retour d’expérience après plusieurs sorties en conditions réelles, ainsi que mon avis honnête sur ses points forts et ses limites.
Prise en main et premières sensations de la Salomon Speedcross 6
Confort à l’enfilage : un chaussant sécurisant dès les premiers pas
Dès que j’ai glissé le pied dans la Speedcross 6, j’ai retrouvé cette sensation familière propre à Salomon : un chaussant ajusté, presque enveloppant. Le système SensiFit continue de faire merveille en épousant parfaitement la forme du pied, sans point de pression. Le laçage Quicklace, toujours aussi pratique, permet un ajustement rapide et précis, même avec des gants — un vrai plus en sortie hivernale.
Ce qui m’a le plus frappé, c’est le confort immédiat. Pas besoin de période de rodage : la semelle propose un amorti ferme mais agréable, qui filtre bien les aspérités du sol tout en gardant une certaine réactivité.
Lors de ma première sortie, une boucle de 12 km sur sentiers gras en forêt, je n’ai ressenti aucune gêne, ni échauffement, malgré les passages glissants et les relances en côte.
Légèreté ou robustesse : un équilibre bien dosé
Avec ses 288 grammes en taille 42, la Speedcross 6 n’est pas la plus légère du marché, mais elle sait se faire oublier une fois en mouvement. Ce poids, légèrement revu à la baisse par rapport à la version précédente, contribue à cette sensation d’équilibre entre solidité et agilité. On sent tout de suite qu’on est sur une chaussure pensée pour durer, sans sacrifier la fluidité de la foulée.
Personnellement, j’ai particulièrement apprécié ce compromis lors d’une sortie après la pluie : je me suis retrouvé à traverser une portion boueuse sur plusieurs kilomètres, et malgré la charge de terre accumulée sous la semelle, la chaussure gardait une bonne tenue. La robustesse est bien là, sans l’effet « béton » que l’on pourrait craindre avec une chaussure typée boue.
Esthétique : un design modernisé mais fidèle à son ADN
Visuellement, Salomon a fait évoluer la Speedcross dans le bon sens. Les lignes sont plus épurées, les soudures remplacent en grande partie les coutures, ce qui allège le design et renforce la durabilité. On reste dans l’esprit Speedcross : un look affirmé, musclé, prêt à affronter les pires sentiers.
J’ai opté pour le coloris noir et rouge, classique mais efficace. Cela dit, les autres déclinaisons sont plutôt réussies, avec des tons plus sobres ou plus punchy selon les goûts. En bref, c’est une chaussure qui garde son identité tout en s’adaptant aux attentes actuelles, à la fois visuelles et techniques.
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S’il y a bien un domaine où la Speedcross 6 excelle, c’est sur les terrains meubles et humides. La boue, les feuilles détrempées, l’herbe grasse : rien ne lui fait peur. Les crampons de 5 mm, légèrement plus espacés que sur les versions précédentes, mordent littéralement le sol. Résultat : une accroche redoutable et une capacité à évacuer la boue rapidement, ce qui évite les « sabots » de terre collée sous la semelle.
Je me souviens d’une sortie dans les Monts du Lyonnais, après trois jours de pluie : montée en sous-bois glissant, descentes boueuses à souhait. Là où d’autres chaussures perdaient pied, la Speedcross 6 restait scotchée au sol. C’est cette fiabilité dans les pires conditions qui fait toute la différence sur un trail exigeant ou une course sous la pluie.
Stabilité et protection : solide sur ses appuis, mais à manier avec précaution
Le maintien latéral est excellent, surtout grâce à la tige rigide et aux renforts bien positionnés. Le pied est bien calé, ce qui limite les mouvements parasites et les risques de torsion. C’est rassurant quand on enchaîne les appuis fuyants sur des dévers ou des passages techniques.
Cependant, cette stabilité a un revers : la semelle reste assez rigide, et avec un drop de 10 mm et une hauteur de semelle relativement importante, on perd un peu en sensation de terrain. Ce n’est pas gênant sur terrain souple, mais dans les pierriers ou les zones instables, mieux vaut rester concentré pour éviter une mauvaise surprise.
À mon sens, cette chaussure est parfaite pour les coureurs qui ont déjà une foulée solide. Si vous débutez en trail ou que vous êtes sujet aux entorses, il faudra peut-être opter pour un modèle un peu plus bas et plus souple.
Amorti et dynamisme : un confort ferme, une relance modérée
L’amorti EnergyCell+ fait bien son travail : il absorbe les chocs et offre une protection efficace sur la durée. Lors d’une sortie longue de 22 km sur un terrain forestier vallonné, je n’ai ressenti ni fatigue plantaire, ni impact désagréable. C’est un amorti ferme, pas moelleux, ce qui plaira à ceux qui aiment sentir qu’ils sont bien maintenus.
En revanche, côté dynamisme, la Speedcross 6 n’est pas une fusée. On sent que ce n’est pas son terrain de jeu favori. Sur les relances ou les sections plus roulantes, elle manque un peu de pep’s. Ce n’est pas un défaut à proprement parler, mais il faut le savoir : elle est taillée pour l’adhérence et la sécurité, pas pour battre un record de vitesse sur un 10 km en forêt.
Les points forts de la Salomon Speedcross 6
Une accroche à toute épreuve
C’est sans doute le point le plus marquant de cette Speedcross 6 : son grip impressionnant. Que ce soit dans la boue profonde, sur des sentiers détrempés ou dans une prairie glissante, les crampons de 5 mm offrent une traction redoutable. On peut attaquer les montées sans retenue et descendre plus sereinement, même quand le sol se dérobe sous les pieds. À chaque sortie, j’ai eu cette sensation agréable de pouvoir faire confiance à mes appuis, ce qui change beaucoup la donne en trail.
Un confort immédiat
Pas besoin de les “casser” ou d’attendre trois sorties pour se sentir bien dedans. Dès la première utilisation, j’ai été surpris par le confort général : le chaussant enveloppe bien le pied sans le comprimer, la languette reste bien en place, et le système Quicklace permet de trouver rapidement le bon ajustement. Pour quelqu’un comme moi qui fait souvent des sorties tôt le matin ou en soirée après le travail, ne pas avoir à se poser de questions sur le confort, c’est un vrai plus.
Maintien et protection bien pensés
La structure de la chaussure inspire la confiance. La tige rigide, les renforts latéraux et la construction SensiFit assurent un excellent maintien. Même sur les terrains accidentés, mon pied est resté bien en place, ce qui limite la fatigue musculaire et les risques de blessure. Les protections à l’avant et sur les côtés permettent aussi d’encaisser quelques coups de pierre ou de racine sans grimacer — ça m’a sauvé l’ongle du gros orteil plus d’une fois !
Une alliée des terrains gras
Clairement, la Speedcross 6 n’est pas une chaussure “passe-partout”. Elle est taillée pour affronter les pires conditions météo et les terrains meubles. C’est là qu’elle excelle, et qu’elle devient un vrai atout dans votre rotation de chaussures. Pour les sorties hivernales, les trails boueux ou les longues randos rapides sur chemins détrempés, elle fait le job — et le fait très bien.
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La Speedcross 6 mise clairement sur la sécurité et la stabilité, mais cela se fait au détriment du dynamisme. Ce n’est pas une chaussure qu’on choisit pour enchaîner les relances ou accélérer sur les parties roulantes. Elle manque un peu de réactivité, notamment si vous avez l’habitude de modèles plus nerveux comme la Salomon Pulsar Trail ou la Sense Ride.
Personnellement, sur une portion plate et sèche d’environ 5 km, j’ai eu l’impression de « traîner » un peu les pieds. Rien de rédhibitoire, mais il faut garder à l’esprit que ce n’est pas son terrain de jeu favori. Elle excelle dans la boue, pas sur les faux plats rapides.
Une stabilité latérale à surveiller sur terrain technique
Même si le maintien global est bon, j’ai parfois senti un léger manque de stabilité latérale sur terrain très technique ou pierreux. Cela vient en partie de la hauteur de semelle assez importante et du drop de 10 mm, qui rehaussent un peu le centre de gravité. Dans les dévers ou lors de changements d’appui rapides, ce petit déséquilibre peut surprendre.
Lors d’une sortie sur un sentier escarpé avec des cailloux instables, j’ai dû ajuster un peu ma foulée pour éviter les torsions. Rien de grave, mais si vous avez les chevilles sensibles ou si vous courez souvent sur des crêtes techniques, ce point mérite d’être pris en compte.
Peu adaptée aux sols durs ou rocailleux
Autre limite notable : son comportement sur les terrains secs et rocailleux. Sur des chemins très compacts, de type piste forestière ou sentier de montagne sec, la semelle cramponnée perd en confort et en efficacité. Le manque d’amorti moelleux se fait sentir, et l’usure des crampons peut s’accélérer.
Un exemple concret : pendant une sortie sur les hauteurs de la Drôme, avec pas mal de sections rocailleuses et en descente, j’ai senti que la chaussure peinait à absorber les chocs. J’ai terminé avec une sensation de pieds « fatigués », ce qui ne m’arrive pas avec des modèles plus polyvalents.
Pour quel type de coureur ?
La Salomon Speedcross 6 s’adresse avant tout à un type de traileur bien précis : celui ou celle qui aime s’aventurer sur des sentiers gras, boueux, humides, où chaque appui compte et où l’adhérence fait la différence. Si vous habitez une région pluvieuse, que vous courez souvent en forêt, en montagne ou sur des terrains détrempés, alors vous êtes clairement dans la cible.
C’est une chaussure taillée pour l’engagement, pour ceux qui n’ont pas peur de revenir couverts de boue après une sortie. Elle vous apportera ce sentiment de sécurité qu’on recherche quand les conditions se dégradent : grip solide, maintien fiable, et une vraie résistance à l’usure.
En revanche, si vous êtes un traileur plutôt polyvalent, qui alterne sentiers secs, caillouteux, pistes roulantes ou bitume entre deux chemins, vous risquez de la trouver un peu trop spécialisée. Elle manque de confort moelleux pour les longues distances très roulantes, et de dynamisme pour ceux qui cherchent à allonger la foulée sur les portions plus rapides.
De même, les coureurs à la recherche de légèreté et d’amorti réactif pourraient préférer un modèle plus polyvalent comme la Sense Ride ou plus orienté performance comme la Pulsar Trail.
En résumé, la Speedcross 6 est idéale si :
Vous courez souvent en terrain gras, instable ou humide.
Vous privilégiez l’accroche et la sécurité à la vitesse.
Vous cherchez une chaussure solide et rassurante pour affronter les pires conditions.
Elle l’est moins si :
Vous voulez une seule paire de trail pour tout faire.
Vous courez sur des terrains très variés, y compris durs ou secs.
Vous recherchez du dynamisme ou un amorti très souple.
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Speedcross 5 vs Speedcross 6 : des ajustements bienvenus
Si vous avez déjà couru avec la Speedcross 5, vous vous demandez sûrement si la sixième version mérite le détour. Pour l’avoir testée sur des parcours similaires, je peux vous dire que la réponse est oui — surtout si vous cherchez un modèle plus léger et plus moderne dans sa conception.
La première différence notable, c’est le poids : la Speedcross 6 a perdu quelques grammes, ce qui améliore un peu la sensation de fluidité en course. Ensuite, la semelle extérieure a été repensée, avec des crampons légèrement plus espacés et une meilleure évacuation de la boue. J’ai vraiment senti cette amélioration lors d’une sortie en sous-bois détrempé, où la semelle restait étonnamment propre malgré les conditions.
Autre point appréciable : le design a été affiné, avec des soudures à la place des coutures sur la tige, ce qui rend la chaussure plus durable et plus agréable visuellement. En résumé, la Speedcross 6 conserve l’ADN de la gamme, mais avec une belle mise à jour technique.
Ultra Glide ou Sense Ride : plus de polyvalence, moins de spécialisation
Si vous cherchez une chaussure capable d’enchaîner les types de terrains, la Speedcross n’est peut-être pas le meilleur choix. Pour une approche plus polyvalente chez Salomon, deux modèles méritent vraiment d’être considérés :
La Sense Ride 5 : c’est un peu le « couteau suisse » de la marque. Elle offre un excellent compromis entre confort, amorti et accroche. Idéale pour des trails variés, elle s’adapte aussi bien aux terrains secs qu’aux chemins plus souples. Je l’utilise souvent pour les sorties longues sur terrain mixte, et elle ne m’a jamais déçu.
L’Ultra Glide 2 : plus orientée longue distance, elle mise sur le confort et un amorti moelleux. Moins agressive que la Speedcross, elle est plus tolérante sur les sorties de plusieurs heures. Si vous avez un gabarit plus lourd ou que vous privilégiez le confort sur la performance pure, elle peut être une excellente alternative.
En clair, la Speedcross 6 reste la reine des terrains gras. Mais si vous courez souvent sur terrain sec ou rocailleux, ou que vous cherchez une seule paire pour tous vos trails, la Sense Ride ou l’Ultra Glide pourraient mieux vous convenir.
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Bien entretenues, vos Speedcross 6 peuvent vous accompagner pendant plusieurs saisons. Voici quelques conseils simples pour prolonger leur durée de vie et garder leur efficacité sur le terrain :
Nettoyez-les après chaque sortie boueuse : Pour éviter que la boue ne sèche et n’abîme la semelle, prenez l’habitude de bien rincer vos chaussures après chaque sortie dans des conditions humides. Une simple brosse à poils durs fera le job pour retirer la boue, et un rinçage à l’eau froide est suffisant.
Séchez-les correctement : Ne les laissez pas sécher près d’une source de chaleur (comme un radiateur ou au soleil direct) qui pourrait déformer la semelle. Privilégiez un séchage à l’air libre, à température ambiante. Pour éviter les mauvaises odeurs, glissez-y des sachets de bicarbonate de soude ou des semelles absorbantes.
Vérifiez les crampons : Avec le temps, les crampons peuvent s’user. Inspectez-les régulièrement pour vous assurer qu’ils sont toujours en bon état, surtout si vous courez sur des terrains très abrasifs comme des rochers. Si vous sentez une perte d’adhérence, c’est peut-être le moment de les remplacer.
Les erreurs à éviter en les utilisant
Éviter les terrains trop durs ou rocailleux : La Speedcross 6 est conçue pour les sols mous et meubles, comme la boue ou l’herbe humide. Sur des terrains trop durs, comme les sentiers très caillouteux ou les chemins pavés, l’amorti peut se faire sentir de manière moins agréable, et la semelle s’usera plus rapidement. Si vous courez régulièrement sur des sols durs, pensez à opter pour un modèle avec une semelle plus adaptée, comme la Sense Ride 5.
Ne pas trop les solliciter sur des terrains plats et secs : Les crampons de la Speedcross sont assez agressifs. Si vous êtes sur un terrain sec, vous pourriez trouver qu’ils offrent un peu trop d’adhérence, ce qui rend la foulée moins fluide. Utilisez-la donc là où elle brille : boue, neige, dévers, et terrains instables.
Ignorer la température et l’humidité : L’un des gros avantages de la Speedcross 6, c’est son excellente imperméabilité (si vous optez pour la version Gore-Tex). Mais attention à ne pas trop la solliciter dans des conditions extrêmement chaudes, où elle pourrait devenir moins respirante. Si vous vivez dans une région où les températures varient beaucoup, privilégiez une version ventilée si vous prévoyez des sorties estivales.
Quelle taille choisir ? (Retour d’expérience sur le fit)
Pour le fit, Salomon propose un chaussant assez ajusté, ce qui peut surprendre si vous n’avez pas l’habitude des modèles de la marque. Personnellement, j’ai choisi ma taille habituelle en 42, et le confort a été parfait. Le système SensiFit épouse bien la forme du pied, et l’ajustement via les QuickLace permet de parfaitement régler la tension sur le dessus du pied sans créer de points de pression.
Si vous avez un pied large, je vous conseille d’essayer la chaussure avant d’acheter ou de choisir un demi-pointure au-dessus de votre taille habituelle. Pour les pieds plus fins, le chaussant standard sera probablement suffisant, mais si vous êtes entre deux tailles, n’hésitez pas à opter pour la plus petite.
Les Speedcross 6 taille assez juste : prenez votre taille habituelle si vous avez un pied moyennement large, mais soyez attentif si vous avez des pieds plus larges. Un bon ajustement est essentiel pour éviter tout inconfort lors de longues sorties.
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Coureur depuis plus de 10 ans et marathonien depuis 2021, je cours régulièrement entre 50 et 100 kilomètres par mois. J'adore parler de running et partager ma passion pour la course à pied aux coureurs débutants.