Pour moi, la Salomon S/Lab Pulsar 4 est un véritable bijou dans sa catégorie. Elle réussit à allier légèreté, dynamisme et maintien avec une justesse rare, ce qui en fait une chaussure idéale pour les traileurs qui veulent pousser leur vitesse à fond sans sacrifier le confort. J’ai particulièrement apprécié son incroyable réactivité et son maintien précis, qui m’ont donné confiance même sur des sentiers techniques et humides.
Certes, elle demande un certain niveau de maîtrise et n’est pas la plus polyvalente, mais pour qui cherche la performance pure sur des formats rapides, c’est un choix ultra pertinent. En bref, c’est une chaussure qui vous pousse à dépasser vos limites tout en gardant un vrai plaisir de course sous les pieds.
Specs
Drop: 6 mm
Poids: 245 gr (H) / 210 gr (F)
Plaque carbone: Non
Type de surface: Sentier
Type de course: Entrainement et Compétition
Type de coureur: Confirmé
Pour
Dynamisme exceptionnel
Légèreté impressionnante
Adhérence fiable
Contre
Prix assez élevé
Durabilité à surveiller
Quand j’ai enfilé pour la première fois la Salomon S/Lab Pulsar 4, j’ai eu cette impression instantanée de légèreté extrême, comme si je venais d’enfiler une paire de chaussons pensés pour aller vite, très vite. Si vous avez déjà connu cette sensation grisante de voler sur les sentiers, vous savez à quel point une chaussure peut transformer une sortie en véritable plaisir ou en galère.
Avec cette nouvelle version de la Pulsar, Salomon continue de viser un public exigeant : les traileurs qui recherchent performance, précision et dynamisme, le tout dans un format aussi minimaliste qu’efficace. J’ai eu la chance de tester ce modèle sur différents terrains, d’abord sur un sentier sec et technique dans le Vercors, puis sur une portion plus grasse et humide en sous-bois après une averse, et je peux déjà vous dire que cette chaussure ne laisse pas indifférent.
Dans cet article, je vous propose un retour complet sur la Salomon S/Lab Pulsar 4 : ses points forts, ses limites, mais surtout son ressenti sur le terrain. Que vous prépariez une course courte explosive ou que vous cherchiez à gagner en vitesse lors de vos sorties techniques, ce test devrait vous éclairer.
Design et conception de la Salomon S Lab Pulsar 4
Dès que l’on prend en main la Salomon S/Lab Pulsar 4, on comprend que chaque détail a été pensé pour la performance. Le design transpire la vitesse, avec une silhouette effilée, des lignes agressives et une finition quasi chirurgicale. Mais derrière cette allure racée se cachent surtout des choix techniques très judicieux.
Une tige Matryx® taillée pour l’efficacité
Le premier point fort, c’est clairement la tige en Matryx®, un matériau textile renforcé par des fibres de Kevlar. Ce que ça donne concrètement ? Une sensation de maintien exceptionnelle dès l’enfilage, sans aucune gêne ni rigidité. Elle épouse le pied comme une seconde peau tout en offrant une excellente respirabilité.
Lors d’une sortie rapide sous 28°C sur un sentier exposé, j’ai particulièrement apprécié cette aération, qui limite l’échauffement plantaire, même quand le rythme s’emballe.
Autre avantage : la légèreté. Malgré sa robustesse, cette tige est incroyablement fine, ce qui contribue au poids plume de la chaussure (environ 250 g). On oublie presque qu’on les porte, et ce n’est pas un euphémisme. Cela permet de garder de la fraîcheur et de l’agilité, même dans les séquences techniques.
Quicklace et EndoFit™ : un duo qui fait la différence
Salomon reste fidèle à ses classiques avec le système Quicklace, toujours aussi simple et efficace. Un seul geste suffit pour ajuster le laçage, et le maintien reste homogène, sans points de pression. Le petit plus ? Le rangement dans la languette évite toute gêne ou accrochage sur les branches ou les pierres.
Associé à cela, le chausson EndoFit™ enveloppe le pied de l’intérieur et évite les mouvements parasites, même en descente ou sur les devers. Lors d’un test dans un pierrier raide des Alpes, j’ai pu descendre à vive allure sans jamais sentir mon pied flotter à l’intérieur. C’est rare, surtout avec une chaussure aussi légère.
Un look qui assume sa vocation
Visuellement, la Pulsar 4 ne cherche pas à plaire à tout le monde, elle affirme son identité de chaussure de compétition. Les coloris sont sobres mais efficaces (rouge, noir, blanc, selon les éditions), avec un style résolument minimaliste. Pas de fioritures, juste ce qu’il faut pour donner un air affûté. Personnellement, j’apprécie cette esthétique “performance pure” qui colle parfaitement à l’esprit S/Lab.
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Si l’empeigne donne à la Salomon Pulsar 4 sa finesse, c’est clairement la semelle qui en fait une vraie machine de guerre sur les sentiers. Salomon a misé ici sur un trio technologique redoutable pour offrir un combo gagnant entre dynamisme, confort et accroche. Et sur le terrain, ça se sent dès les premières foulées.
Une mousse double densité qui allie peps et stabilité
La semelle intermédiaire repose sur une construction en dual foam, c’est-à-dire deux types de mousses superposées. En surface, on retrouve une couche de PEBA Energy Foam+, cette mousse ultra-réactive que l’on retrouve sur les modèles les plus dynamiques du marché. Elle donne un vrai coup de fouet à la foulée, avec un excellent retour d’énergie à chaque appui.
En dessous, la mousse Energy Foam (à base d’EVA) vient compléter l’ensemble avec un rôle plus stabilisateur. Cette structure à deux couches permet de garder le pied bien centré, même sur les portions techniques ou les changements de rythme. Sur une sortie de 25 km avec enchaînement de relances et de descentes rocailleuses, j’ai été bluffé par le rebond et la tenue de la semelle, sans aucune fatigue plantaire.
Le drop de 6 mm est plutôt bien dosé. Il favorise une attaque médio-pied tout en restant accessible pour ceux qui ne sont pas habitués aux drops très faibles. Et surtout, le ressenti est fluide : on ne lutte pas pour trouver son placement, la chaussure accompagne naturellement la foulée.
Protection sans lourdeur : le film Profeel
Autre innovation discrète mais efficace : le Profeel Film, une pellicule protectrice intégrée entre les couches de mousse à l’avant du pied. Son rôle est de filtrer les aspérités du sol (pierres, racines, petits chocs) sans alourdir la chaussure ou nuire à la flexibilité. Ce n’est pas une plaque rigide comme sur certaines chaussures carbone, mais une solution légère qui fait le job.
Lors d’un entraînement sur un sentier très caillouteux, je m’attendais à ressentir chaque aspérité et pourtant, le confort restait au rendez-vous. On garde de la sensation sous le pied, mais sans subir les chocs. Un bon équilibre, notamment pour les trails rapides où on ne veut pas sacrifier la précision.
Contagrip All Terrain : l’accroche tout-terrain par excellence
Côté semelle extérieure, Salomon utilise son désormais célèbre Contagrip All Terrain avec des crampons de 3,5 mm. L’adhérence est vraiment fiable sur la plupart des surfaces : terre, cailloux, racines humides, et même routes mouillées.
L’un de mes tests s’est déroulé juste après une averse, sur un sentier forestier mêlant boue, feuilles et pierres glissantes. Verdict ? Aucun dérapage involontaire. La traction reste bonne, même si sur une boue très profonde ou argileuse, les crampons manquent parfois de mordant, rien d’anormal pour une chaussure de ce profil.
La surface de contact optimisée (environ 2 000 mm²) offre une belle stabilité, surtout en courbes ou en dévers. La transition entre la foulée et le grip se fait de manière fluide, sans perte d’énergie.
Test sur le terrain de la Salomon S/Lab Pulsar 4
Pour vraiment juger ce que la Salomon S/Lab Pulsar 4 a dans le ventre, je l’ai emmenée là où elle est censée briller : sur les sentiers. J’ai réalisé plusieurs sorties avec, dont deux tests clés : une sortie de 18 km sur terrain mixte (forêt sèche, monotrace caillouteuse, quelques portions roulantes) par temps sec, puis une autre de 22 km avec un profil plus technique, sous la pluie et sur sol gras. L’idée ? Pousser la chaussure dans ses retranchements, et voir si le discours marketing tient la route.
Une fusée sur les sentiers roulants
Dès les premières foulées sur une portion de single rapide, le dynamisme de la semelle m’a sauté aux pieds. La mousse PEBA en surface fait clairement le job : ça relance fort, sans effort. On sent que la chaussure est pensée pour courir vite, et elle le rend bien. On a presque envie d’accélérer, tant la foulée est fluide.
Lors de ma première sortie, j’ai couru 5 km consécutifs à un rythme proche de ma vitesse de seuil, et la Pulsar 4 m’a surpris par sa capacité à rester confortable malgré l’allure élevée. On sent un bon déroulé du pied, un excellent retour d’énergie, sans qu’aucune zone ne sature sous la pression.
En montée et descente : précision et réactivité
En montée, la légèreté fait toute la différence. La chaussure répond très bien aux relances et aux changements de cadence. Je n’ai pas eu la sensation d’un amorti mou ou d’un poids à gérer. Au contraire, elle incite à rester dynamique, ce qui est un vrai plus sur les montées courtes et explosives.
En descente, j’étais curieux de voir si le faible poids n’allait pas jouer contre la stabilité. Verdict : très bon comportement global. Grâce au duo Quicklace + EndoFit, le pied reste parfaitement calé dans la chaussure, même dans les virages ou les devers. La semelle garde une base assez large, ce qui donne une vraie impression de sécurité, sans pour autant sacrifier l’agilité.
Maintien et confort : une bonne surprise
Pour une chaussure taillée pour la course, j’ai trouvé le confort vraiment au rendez-vous. Pas de frottement, pas de point de pression, même après 1h45 de course. Le mesh Matryx® reste doux et respirant, et la chaussure se fait oublier. Elle peut clairement encaisser une sortie longue ou une compétition jusqu’à 40–50 km, selon votre niveau.
Petit conseil au passage : prévoyez tout de même un peu de temps pour la faire à votre pied. Lors de ma première sortie, le chaussant m’a semblé un peu ajusté, mais tout s’est assoupli très naturellement au fil des kilomètres.
Adhérence : ça colle (presque) partout
Sur sol sec ou légèrement meuble, l’adhérence est excellente. Les crampons de 3,5 mm offrent un bon compromis entre accroche et fluidité, sans freiner la foulée. C’est surtout sur les portions techniques humides (roches mouillées, racines glissantes) que je l’ai vraiment mise à l’épreuve.
Et là, très bon comportement général. Certes, on atteint les limites sur une boue très collante où une Speedcross ou une chaussure typée montagne serait plus à l’aise, mais la Pulsar 4 s’en sort très bien pour une racing légère. Elle inspire confiance sur l’humidité et reste précise dans le placement du pied.
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Les points forts et les points faibles de la Salomon S/Lab Pulsar 4
Les points forts
Après plusieurs sorties avec la Salomon S/Lab Pulsar 4, certains points forts ressortent très clairement. C’est une chaussure taillée pour aller vite, et elle assume pleinement son ADN racing.
Dynamisme exceptionnel C’est sans doute ce qui m’a le plus marqué. Le retour d’énergie est bluffant, notamment grâce à la mousse PEBA. On sent que chaque foulée est propulsée, sans effort superflu. C’est une alliée redoutable sur les courses rapides et les entraînements tempo.
Maintien précis et chaussant au top Le combo Quicklace + EndoFit + tige Matryx® fonctionne à merveille. Le pied est bien enveloppé, sans compression. Pas de flottement dans les descentes, pas de glissement latéral. J’ai rarement eu une sensation aussi sécurisante dans une chaussure aussi légère.
Légèreté impressionnante pour une telle protection Avec moins de 250 g (en taille standard), la Pulsar 4 donne l’impression de courir avec rien. Et pourtant, elle protège bien des chocs du sol grâce à la double mousse et au film Profeel. Ce compromis poids/protection est l’un des meilleurs que j’ai testés.
Accroche fiable sur de nombreux terrains Le Contagrip All Terrain assure une très bonne traction sur sentier sec, humide, pierreux ou forestier. Même sous la pluie, j’ai pu garder de la confiance dans mes appuis, ce qui est loin d’être anodin pour une chaussure aussi orientée course.
Les points faibles
Bien sûr, aucune chaussure n’est parfaite. Et même si la Pulsar 4 coche beaucoup de cases, il faut garder à l’esprit quelques limites selon votre usage ou votre profil.
Prix élevé Comme souvent avec la gamme S/Lab, l’excellence a un coût. On est clairement sur du haut de gamme. Ce n’est pas forcément accessible à tous, surtout pour un usage occasionnel ou loisir.
Moins à l’aise dans la boue profonde ou terrain très gras Avec ses crampons de 3,5 mm, la Pulsar 4 offre une bonne accroche, mais elle atteint ses limites dans la boue lourde ou argileuse. Pour des terrains très gras, mieux vaut opter pour une chaussure plus crantée.
Durabilité à surveiller pour les gros gabarits ou les longues distances Même si le Matryx® est robuste, la finesse générale de la chaussure reste un point de vigilance pour les coureurs lourds ou ceux qui enchaînent les ultras. Le mesh peut fatiguer plus vite avec le temps, surtout si la chaussure est malmenée.
Pour qui est la S/Lab Pulsar 4 ?
Si vous cherchez une chaussure de trail capable de transformer chaque foulée en accélération naturelle, la Salomon S/Lab Pulsar 4 pourrait bien être votre meilleure alliée. Mais comme souvent avec les modèles très typés performance, elle ne s’adresse pas à tout le monde.
Le profil idéal : léger, technique, et tourné vers la vitesse
La Pulsar 4 s’adresse avant tout aux coureurs :
à la foulée dynamique (attaque médio-pied ou avant-pied),
avec une bonne technique de course,
et au gabarit plutôt léger à moyen (jusqu’à 75–80 kg environ pour un usage régulier).
Elle brillera particulièrement aux pieds des compétiteurs ou des traileurs aguerris, à l’aise sur des sentiers roulants, secs ou légèrement techniques.
Pour quelles distances et types de courses ?
Avec son amorti bien dosé, sa légèreté et son explosivité, elle est idéale pour :
les compétitions courtes à moyennes distances : 10 km à 40 km,
les KV (kilomètres verticaux) ou les formats type Skyrunning,
les sorties tempo ou séances spécifiques sur terrain naturel.
Au-delà de 50 km ou sur des ultra-trails très engagés, elle montrera ses limites : confort plus minimaliste, protection réduite, et usure plus rapide sur terrain agressif.
Est-ce un bon investissement ?
Clairement, oui à condition que vous sachiez pourquoi vous l’achetez.
Si votre objectif est de gagner en vitesse sur trail, d’améliorer vos chronos, ou de performer sur des formats courts et nerveux, c’est un excellent investissement. Elle est conçue pour ça, et elle le fait très bien.
En revanche, si vous cherchez une paire “polyvalente” ou destinée aux longues sorties tranquilles du dimanche, vous risquez d’être frustré par son exigence technique et par son prix.
-15% sur la Salomon S/lab Pulsar 4 avec le code WOZA15
Dans l’univers des chaussures de trail orientées performance, la Salomon S/Lab Pulsar 4 vient jouer des coudes face à une concurrence féroce. Entre l’évolution de ses propres modèles et les nouveautés chez Hoka, Nike ou encore dans sa propre gamme S/Lab, elle a intérêt à avoir de bons arguments. Spoiler : elle en a.
Qu’est-ce qui change par rapport à la Pulsar 3 ?
La Pulsar 4 n’est pas une révolution, mais plutôt une évolution maîtrisée et cohérente. Là où la Pulsar 3 brillait déjà par sa légèreté et son dynamisme, cette nouvelle version va plus loin sur plusieurs points clés :
Plus de stabilité : la base semble légèrement élargie, ce qui se ressent particulièrement dans les descentes ou les virages serrés.
Un confort revu à la hausse grâce à une mousse PEBA plus généreuse, qui améliore l’absorption sans casser la nervosité.
Une tige Matryx® encore plus respirante et durable, avec un ajustement plus précis. On gagne en maintien sans perdre en souplesse.
Un design plus affûté, avec un chaussant légèrement revu qui s’adapte mieux à différents types de pieds.
La Pulsar 4 corrige certaines petites limites de la 3, notamment sur les longues distances ou les terrains un peu techniques.
Face à la Hoka Zinal et la Nike Ultrafly
Du côté de Hoka, la Zinal 2 reste une concurrente sérieuse. Elle est aussi légère et dynamique, avec une semelle en mousse EVA bien rebondissante. Mais là où la Pulsar 4 prend l’avantage, c’est sur le maintien du pied et la précision en terrain technique. La Zinal est excellente sur les sentiers roulants, mais devient un peu flottante dès que ça se complique.
La Nike Ultrafly Trail, quant à elle, mise sur la plaque carbone et un amorti généreux. Très efficace sur les longues distances rapides, elle est redoutable en descente et en relance, mais plus massive (et moins agile) que la Pulsar 4. Si vous aimez les appuis précis et une foulée naturelle proche du sol, la Salomon garde une longueur d’avance.
Et face à la Salomon S/Lab Genesis ?
C’est sans doute la comparaison la plus intéressante, car la Genesis et la Pulsar 4 sont issues du même ADN, mais avec des philosophies très différentes. La Genesis vise la polyvalence et l’endurance, avec plus d’amorti, de protection et une meilleure tolérance en terrain engagé. La Pulsar 4, elle, est taillée pour la vitesse pure, sur des courses courtes à moyennes (jusqu’à 50 km max selon votre profil).
Donc, si vous courez léger, rapide, sur des terrains secs ou compacts, la Pulsar 4 est la plus pertinente. Si vous voulez une paire capable d’encaisser des ultras ou des terrains très accidentés, la Genesis sera plus rassurante.
Ce qui la distingue vraiment
Ce que je retiens de la Pulsar 4 après tous ces essais, c’est sa capacité à combiner extrême légèreté, dynamisme et précision. Peu de modèles arrivent à ce niveau d’équilibre sans faire de concessions. Elle s’adresse clairement à des coureurs exigeants, qui veulent optimiser leur foulée, leur relance et leur efficacité sur les sentiers rapides.
En clair : si vous cherchez une chaussure minimaliste mais efficace, capable de transformer vos séances tempo ou vos courses courtes en véritables fusées, la Pulsar 4 coche toutes les cases.
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Coureur depuis plus de 10 ans et marathonien depuis 2021, je cours régulièrement entre 50 et 100 kilomètres par mois. J'adore parler de running et partager ma passion pour la course à pied aux coureurs débutants.