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Test et avis On Cloudsurfer 2 : la chaussure idéale pour les sorties longues et footings modérés

  • Confort
  • Polyvalence
  • Dynamisme
  • Stabilité
  • Amorti
  • Adhérence
  • Légèreté
  • Design
4.3/5Note globale

Mon avis sur la On Cloudsurfer 2

Après avoir testé la On Cloudsurfer 2 sur plusieurs sorties, je dois avouer que cette chaussure m’a agréablement surpris. Son amorti est vraiment confortable, et la fluidité de la foulée, grâce à la technologie CloudTec Phase™, permet de courir de façon naturelle sur de longues distances. J’ai particulièrement apprécié son confort sur les sorties longues et les footings à allure modérée, où elle excelle. La légèreté du modèle et la respirabilité de l’empeigne sont des points forts indéniables, surtout lors de conditions plus chaudes.

Cependant, elle ne brille pas forcément par sa réactivité sur des entraînements plus intenses, comme les fractions rapides, où l’on pourrait lui reprocher un manque de dynamisme. Si votre objectif est de chercher la performance pure, ce n’est peut-être pas le modèle le plus adapté. Mais pour ceux qui veulent une chaussure polyvalente pour l’entraînement quotidien, durable et agréable, la On Cloudsurfer 2 est un excellent choix. C’est une chaussure qui fait parfaitement le job sans compromis, alliant confort, légèreté et une bonne dose de fluidité !

Specs
  • Drop: 9 mm
  • Poids: 245 gr (H) / 225 gr (F)
  • Plaque carbone: Non
  • Type de surface: Route
  • Type de course: Entrainement
  • Type de coureur: Débutant et confirmé
Pour
  • Chaussure très confortable
  • Excellent traction
  • Polyvalente pour les entrainements
Contre
  • Amorti plus ferme que la version précédente
  • Limitée sur longue distance

Quand j’ai enfilé la On Cloudsurfer 2 pour la première fois, j’ai tout de suite ressenti cette sensation de légèreté et de fluidité qui fait la réputation de la marque suisse. Ayant testé plusieurs modèles On Running par le passé, j’étais curieux de voir comment cette nouvelle version se démarquait. Est-elle toujours aussi confortable ? Convient-elle à tous les types de coureurs ? Et surtout, tient-elle ses promesses en termes d’amorti et de dynamisme ?

Si vous cherchez une chaussure polyvalente pour vos entraînements quotidiens, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, je vous partage mon test complet de la On Cloudsurfer 2 : ses points forts, ses limites et pour quel type de coureur elle est vraiment faite. Attachez bien vos lacets, c’est parti !

Présentation générale de la On Cloudsurfer 2

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La On Cloudsurfer 2 marque le retour d’un modèle emblématique qui a su évoluer tout en conservant son ADN. Conçue pour offrir un excellent compromis entre confort et dynamisme, cette chaussure s’adresse aux coureurs en quête d’une foulée fluide et naturelle. Voyons ensemble ce qu’elle propose et en quoi elle se différencie de la version précédente.

Aperçu des principales caractéristiques techniques

Dès le premier regard, la Cloudsurfer 2 affiche un design épuré, fidèle à l’esthétique minimaliste de la marque suisse. Mais sous son apparence soignée, elle cache plusieurs éléments techniques qui jouent un rôle clé dans ses performances :

  • Amorti CloudTec Phase™ : une nouvelle disposition des « nuages » sous la semelle pour une transition plus douce et un meilleur retour d’énergie.
  • Mousse Helion™ : un composé léger et réactif, pensé pour allier confort et dynamisme sur toutes les distances.
  • Drop de 9 mm : légèrement réduit par rapport à la version précédente (10 mm) pour favoriser une foulée plus naturelle.
  • Empeigne en mesh technique : respirante et sans couture, elle offre un bon maintien tout en limitant les frottements.
  • Semelle extérieure optimisée : un caoutchouc plus résistant pour une meilleure adhérence et une durabilité accrue.

À peine 245 g sur la balance (en pointure 42), ce modèle reste dans la catégorie des chaussures légères, idéales pour l’entraînement quotidien.

Quelles innovations par rapport à la version précédente ?

Si vous avez connu la première Cloudsurfer, vous remarquerez rapidement les évolutions apportées sur cette seconde version. Le changement majeur se situe au niveau de l’amorti : la nouvelle géométrie CloudTec Phase™ améliore encore la fluidité de la transition talon-avant-pied, rendant la foulée plus naturelle.

Autre point notable : l’empeigne a été retravaillée pour offrir plus de souplesse et de respirabilité. Lors de mes premières sorties, j’ai particulièrement apprécié cette sensation de liberté au niveau du médio-pied, sans perdre en maintien.

Enfin, On Running a repensé la semelle extérieure pour offrir plus d’adhérence et une usure plus homogène. Un détail qui fait la différence, surtout si vous avez tendance à user rapidement vos chaussures sur les routes.

Avec ces ajustements, la Cloudsurfer 2 s’impose comme une chaussure encore plus aboutie, taillée pour les coureurs cherchant une alternative confortable et réactive à leurs modèles habituels. Reste à voir comment elle se comporte sur le terrain !

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Technologies et conception

La On Cloudsurfer 2 ne se contente pas d’un simple lifting esthétique. Chaque élément a été repensé pour améliorer à la fois le confort, la fluidité de la foulée et la durabilité. De l’amorti à la semelle extérieure en passant par l’empeigne, découvrons ensemble les innovations qui rendent cette chaussure si particulière.

Amorti et semelle intermédiaire

L’un des points forts de cette Cloudsurfer 2 réside dans son amorti revisité. La technologie CloudTec Phase™ marque une vraie évolution par rapport aux versions précédentes. Contrairement aux capsules Cloud classiques que l’on retrouvait sur d’autres modèles de la marque, cette nouvelle architecture permet une compression progressive des “nuages” sous le pied.

Résultat : une transition plus fluide et un meilleur déroulé du pied, sans effet de rupture entre l’attaque et l’impulsion.

La semelle intermédiaire est composée de la mousse Helion™, un matériau exclusif à On Running qui combine légèreté et réactivité. Sur mes premières sorties, j’ai particulièrement apprécié le bon équilibre entre l’absorption des chocs et le retour d’énergie. L’amorti se fait sentir dès les premiers kilomètres, sans pour autant brider la dynamique de course. Cette combinaison permet à la Cloudsurfer 2 de convenir aussi bien aux sorties longues qu’aux footings à allure modérée.

Empeigne et confort

L’empeigne de la Cloudsurfer 2 a été repensée pour offrir encore plus de confort et de respirabilité. La tige est conçue en mesh technique sans couture, ce qui permet d’éviter les irritations et de garantir une bonne ventilation du pied, même par temps chaud. Lors de mes tests sous des températures estivales, j’ai ressenti une réelle différence par rapport à certains modèles plus rigides où la chaleur s’accumule rapidement.

Le design de la languette et du col a également été optimisé pour un ajustement optimal. La languette, légèrement matelassée, assure un bon maintien sans exercer de pression excessive sur le cou-de-pied. Le col, quant à lui, épouse bien la cheville sans générer de frottements. Pour ceux qui, comme moi, ont déjà souffert d’ampoules à cause d’un col mal conçu, cette attention aux détails est un vrai plus.

Semelle extérieure et durabilité

La semelle extérieure de cette Cloudsurfer 2 a été retravaillée pour offrir une meilleure adhérence et une longévité accrue. On Running utilise un caoutchouc résistant à l’abrasion, stratégiquement positionné sur les zones les plus sollicitées. Cela limite l’usure prématurée, notamment pour les coureurs qui sollicitent davantage l’avant-pied.

Sur route sèche, l’accroche est excellente. Lors de mes sorties sur des portions légèrement humides, j’ai constaté une bonne stabilité, même dans les virages. Ce n’est pas une chaussure spécifiquement conçue pour les sentiers, mais elle se débrouille très bien sur les chemins en stabilisé ou les routes mouillées.

Grâce à ces améliorations, la Cloudsurfer 2 gagne en polyvalence et en durabilité, ce qui en fait une option sérieuse pour les coureurs recherchant une chaussure fiable pour l’entraînement quotidien. Reste maintenant à voir comment elle se comporte sur différentes allures et types de séances !

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performances sur le terrain de la On Cloudsurfer 2

Une fois les premières foulées effectuées, la On Cloudsurfer 2 dévoile tout son potentiel. Que ce soit pour une sortie longue en endurance ou une séance plus dynamique, cette chaussure se veut aussi agréable qu’efficace. Voyons comment elle se comporte dans différentes conditions.

Confort et amorti

Dès les premiers kilomètres, l’amorti de la Cloudsurfer 2 se fait sentir avec un toucher de route souple et fluide. La mousse Helion™, couplée à la technologie CloudTec Phase™, absorbe efficacement les chocs sans créer d’effet « matelas » excessif.

Lors de mes sorties longues, j’ai particulièrement apprécié cette capacité à offrir un bon confort tout en maintenant une certaine réactivité. Contrairement à certains modèles ultra-amortis qui finissent par alourdir la foulée, ici, la transition reste naturelle.

Sur des allures modérées, la chaussure excelle en offrant un déroulé du pied fluide et agréable. En revanche, lorsqu’il s’agit d’accélérer, elle montre ses limites. Si elle peut convenir pour des changements d’allure progressifs, elle manque un peu de nervosité pour des séances de fractionné court. Lors d’un test sur 200 mètres répétés, j’ai ressenti un léger manque de répondant par rapport à des modèles plus typés performance.

Stabilité et maintien

La Cloudsurfer 2 offre un bon maintien général, notamment grâce à son col ajusté et sa languette bien plaquée. Le pied est bien calé sans sensation de compression excessive. J’ai particulièrement apprécié le travail effectué sur le talon, qui reste bien en place, évitant ainsi tout flottement désagréable.

En termes de stabilité, la semelle élargie assure une bonne base, même lorsque l’on fatigue en fin de sortie longue. Sur route et pistes cyclables, la chaussure se comporte très bien, offrant un équilibre entre souplesse et maintien. Sur terrain légèrement irrégulier, type chemin de halage ou sentier stabilisé, elle reste fiable, même si ce n’est clairement pas un modèle destiné au trail.

Polyvalence

Côté polyvalence, la Cloudsurfer 2 remplit bien son rôle. Elle se prête parfaitement aux sorties longues, aux footings de récupération et aux séances d’endurance fondamentale. Pour un coureur cherchant une chaussure capable d’enchaîner les kilomètres avec confort, elle coche toutes les cases.

En revanche, si vous recherchez une chaussure pour du travail de vitesse ou des compétitions, il faudra peut-être se tourner vers un modèle plus dynamique de la gamme On Running, comme la Cloudboom Echo.

La Cloudsurfer 2 brille sur les allures modérées et les distances allant de 10 à 25 km, mais son ADN reste avant tout orienté vers le confort plutôt que la performance pure.

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Comparaison avec la version précédente

La On Cloudsurfer 2 ne se contente pas d’un simple rafraîchissement. Cette nouvelle mouture apporte des améliorations bien senties tout en conservant l’essence qui a fait le succès du premier modèle. Voyons ce qui a changé et ce qui reste fidèle à l’ADN de la gamme.

Améliorations notables

Parmi les évolutions les plus marquantes, la réduction du drop, qui passe de 10 mm à 9 mm, se ressent légèrement sur la foulée. Ce changement favorise un déroulé plus naturel et s’inscrit dans une tendance actuelle visant à encourager une pose plus progressive du pied. Pour ma part, cette modification m’a permis de mieux ressentir le sol tout en conservant un bon niveau d’amorti.

Autre changement appréciable : l’allègement de la tige. On Running a retravaillé l’empeigne en utilisant un mesh plus fin et plus souple, ce qui améliore la respirabilité et le confort général. Lors de mes tests, j’ai immédiatement perçu une meilleure sensation de liberté, notamment au niveau du médio-pied. Ce détail fait une vraie différence sur les sorties longues, où une tige trop rigide peut devenir inconfortable.

Enfin, la nouvelle technologie CloudTec Phase™, absente sur la version précédente, change la donne en apportant une transition plus fluide et plus douce. Ce système d’amorti revisité gomme le léger manque de continuité dans le déroulé du pied que je pouvais ressentir avec l’ancienne Cloudsurfer.

Eléments conservés

Malgré ces évolutions, la Cloudsurfer 2 reste fidèle à ce qui a fait le succès du premier modèle. La chaussure conserve son positionnement polyvalent, idéale pour les sorties en endurance et les entraînements réguliers. Les habitués retrouveront cette sensation de confort et de légèreté qui caractérisait déjà la première version.

Autre point inchangé : la philosophie de la chaussure, toujours orientée vers une foulée fluide et agréable. On Running a su conserver cet équilibre entre amorti et dynamisme, rendant la Cloudsurfer 2 accessible à un large éventail de coureurs.

En écoutant les retours des utilisateurs, la marque a réussi à peaufiner un modèle déjà apprécié, en corrigeant certains détails sans bouleverser son ADN. Cette nouvelle version se veut plus aboutie et mieux optimisée pour un usage quotidien. En clair, si vous avez aimé la première Cloudsurfer, vous devriez sans problème adopter cette seconde génération !

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Les points forts et points faibles de la On Cloudsurfer 2

Comme toute chaussure de running, la On Cloudsurfer 2 a ses qualités et ses limites. Après plusieurs sorties avec ce modèle, voici ce que j’ai retenu de son comportement sur le terrain.

Les points forts

✔️ Amorti fluide et confortable – La technologie CloudTec Phase™ offre une transition ultra-douce, idéale pour les sorties longues et les footings en endurance.

✔️ Légèreté appréciable – Avec ses 245 g (en 42), elle reste agréable à porter et ne donne pas la sensation d’un modèle trop imposant.

✔️ Empeigne respirante et agréable – Le mesh technique assure une bonne ventilation, limitant la surchauffe du pied sur les sorties prolongées.

✔️ Polyvalence – Convient aussi bien aux sorties longues qu’aux footings de récupération, ce qui en fait une excellente option pour l’entraînement quotidien.

✔️ Foulée naturelle et fluide – La réduction du drop (9 mm) et la mousse Helion™ offrent un bon équilibre entre confort et dynamisme.

Les points faibles

Manque de réactivité sur les accélérations – Si l’amorti est très agréable, le retour d’énergie reste en retrait pour les séances de fractionné ou les rythmes soutenus.

Adhérence limitée sur sol humide – Bien que correcte sur route sèche, la semelle peut manquer d’accroche sur les surfaces mouillées ou légèrement instables.

Durabilité à surveiller – La mousse Helion™ est performante mais peut s’user plus rapidement que d’autres composés sur une utilisation intensive.

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Pour quel type de coureur ?

La On Cloudsurfer 2 s’adresse avant tout aux coureurs à la recherche d’une chaussure confortable et fluide pour leurs entraînements réguliers. Avec son amorti bien dosé et sa légèreté, elle convient à un certain profil de coureur et à des usages spécifiques. Voyons si elle est faite pour vous.

Profil recommandé

Si vous pesez moins de 80 kg, la Cloudsurfer 2 saura vous offrir un bon équilibre entre amorti et dynamisme. Grâce à sa mousse Helion™ et à la technologie CloudTec Phase™, elle absorbe bien les impacts sans être trop molle, ce qui la rend agréable à porter sur des distances moyennes.

Elle est idéale pour les coureurs qui s’entraînent 3 à 4 fois par semaine, que ce soit pour des footings en endurance, des sorties longues ou des séances de récupération. Si vous cherchez une chaussure pour enchaîner les kilomètres avec confort sans trop vous soucier de la performance pure, elle répondra parfaitement à vos attentes.

Utilisation idéale

La Cloudsurfer 2 brille particulièrement sur les séances d’endurance de 10 à 25 km. C’est une chaussure qui se comporte très bien à allure modérée, parfaite pour les footings du quotidien et les sorties longues du week-end. Lors de mes tests sur des sorties de plus de 15 km, j’ai apprécié la transition fluide et l’absence de fatigue musculaire excessive grâce à son bon amorti.

En revanche, si vous recherchez un modèle pour des séances de fractionné ou des courses rapides, elle pourrait manquer un peu de réactivité. Pour ces usages, une chaussure plus dynamique comme la Cloudboom Echo ou la Cloudflow pourrait être plus adaptée.

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Matthieu

Passionné de course à pied depuis de nombreuses années, je suis ravi de partager avec vous ma passion pour le running. La course à pied est devenue bien plus qu'un simple passe-temps pour moi ; c'est un mode de vie. Chaque mois, je parcours entre 50 et 100 kilomètres, explorant les routes et les sentiers avec détermination et enthousiasme.